Dominant De Nature

Ma première soumise

cravache



Après ce premier pas, bien sage dans ce monde, j'alternais les sorties en fonction de mes petites amies. Avec elles, les clubs libertins, les Chandelles, la Cheminée, l'Escapade et seul club BDSM : le Bar Bar. Chez Pascal, je regardais, je lui posais des questions et j'échangeais avec les personnes présentes. Je découvrais des pratiques diverses et variées, certaines me plaisaient et d'autres non. Mais, je me rendais vite compte de la complicité des couples présents, et du courage de certains de vivre leurs fantasmes, sans craindre le regard des autres. Dans ce milieu, la confiance de l'ensemble des protagonistes était certaine à cette époque. Il n’était pas rare qu'un dominant prête son dominé pour un certain temps sous son regard protecteur. Au fil du temps, je participais au gré des invitations, je prenais de l'assurance dans certaines pratiques.

Un soir, de retour à L'Escapade, seul, je fis connaissance d'un couple discret et fort sympathique : Arnaud et Natacha C'était une soirée avec très peu de personnes, trois couples et six ou sept hommes seuls. Je savais que je plaisais au couple et qu'à un moment ou un autre, nous allions nous retrouver dans un salon pour faire un trio. Ce qui devait arriver, arriva. Retour au bar, après ce bon moment de détente et le feeling était bien présent. La discussion glissa sur le sujet des autres clubs que nous fréquentions. Au cours de cette discussion, j'abordais le thème du SM. Ils connaissaient ces pratiques mais pas beaucoup plus loin que les liens et le bandage des yeux. Arnaud était très amical et Natacha avait le regard pétillant. Je pris le risque de proposer une petite séance à cette dernière sous le regard de son mari. Le couple accepta immédiatement.

Simplement, nous étions dans un club échangiste et le matériel minimum n'était pas à disposition. Je partis au bar demander à Costa le patron, s’il avait un foulard et une cravache, ce qu'il me trouva en moins de trente secondes. De retour auprès de mes nouveaux amis avec le matériel prêté en main, je proposais : « On y va ? ». Le couple se leva et se dirigea vers une alcôve. Je tendis le foulard à Arnaud et demande à Natacha de se déshabiller, elle ne devait garder que ses bas et escarpins. Une fois en tenue, je demandais à son mari de lui poser le foulard sur les yeux. Derrière nous, deux hommes assistaient silencieusement à la scène.

Je demandais à Arnaud d'installer son épouse sur le lit à « quatre pattes ». Lentement, je passais la cravache sur son cou, ses épaules, ses reins et ses fesses. Je faisais attention aux réactions aussi bien de la soumise du moment qu'à son mari. Tout semblait bien se passer, et je commençais à alterner caresses et coups de cravache sur son postérieur qui s'offrait de plus en plus. Je prenais confiance de la situation et le sourire d 'Arnaud et les petits gémissements de Natacha confirmaient leurs choix. La confiance de leur part et la mienne grandissantes, créait une sorte de bien-être, ce petit jeu continua et je commençais à pincer les seins lourd de Natacha de temps en temps, son sexe de luisait, le plaisir de tous était présent. Les coups de cravache étaient plus marqués, le petit claquement caractéristique résonnait dans mon esprit, et la situation avait donné des idées aux deux spectateurs...

Les deux hommes s'approchèrent à droite et à gauche de la tête de Natacha Ils avaient le pantalon et slip baissés et leurs membres étaient tendus. Ils se masturbaient tout en approchant leur sexe près de la bouche de la jeune femme. Ils n'avaient pas demandé à Aranaud avant de s'approcher et d'un coup d'œil je vis que ce dernier ne semblait pas apprécier le tableau qui se dessinait. En une fraction de seconde, je regardais Arnaud et dit à vive voix : « vous savez quand J'ai bu, je ne garantis pas là précision des coups de cravache ! ». L'érection des deux hommes disparut, presque simultanément à leur mouvement de recul. Arnaud avait un grand sourire et Natacha se retourna en retirant le foulard de ses yeux. Les deux hommes partirent sans doute un peu vexés. Ceux qui me connaissent savent que je ne bois pas! Je fis un baisemain à Natacha, l'aide à sortir du lit et la soirée se finit. Aujourd'hui encore, je suis ami avec ce couple et pour rire un peu, nous nous rappelons de la scène des deux hommes très entreprenants, calmés par le doute sur ma capacité à maîtriser mes coups de cravache.

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