Dominant De Nature

Vanessa

croix


Vanessa sortit des toilettes du restaurant et traversait la salle avec élégance à la limite de l’arrogance. Elle aimait être regardée, et sa beauté l’aidait beaucoup pour cela. J’aimais regarder les yeux des hommes envieux sur son passage et j’éprouvais une certaine fierté d’être à ses côtés. Les femmes aussi regardaient son visage et son corps. Malgré sa petite cinquantaine, elle faisait toujours autant d’effet : un physique de rêve, soignée et bien habillée sexy, vêtue d’une mini-jupe en cuir et d’un chemisier noir. Elle venait de se faire un petit raccord de maquillage afin de continuer la soirée, soirée quelle avait choisie. Il était environ 23h quand nous quittons le restaurant, qui n’avait finalement aucun intérêt à l’exception de sa note trop salée ! Mais, Vanessa se sentait valorisée, ce qui était le plus important.

En attendant le taxi, elle me répétait les consignes. Elle voulait cette soirée de longue date, et les hasards de la vie faisaient, qu’elle avait été retardée de plusieurs mois. Ce soir, elle était soumise ! Sans rentrer dans les détails de sa vie, nous nous fréquentions depuis sept ans avec des hauts et des bas, mais nous gardions le contact, car elle était très amoureuse de moi. Elle se disait fidèle, mais nous n’avions pas la même définition de ce mot. Dans la vie de tous les jours, elle donnait et véhiculait une image de battante crédible. Mais de mon côté, je ne suis absolument pas un soumis. Quand nous faisions l’amour, nous étions à égalité sauf à la fin des ébats où je prenais toujours le dessus car j’étais capable de lui faire atteindre l’orgasme jusqu'à cinq fois, consécutivement et systématiquement, quand je la dominais légèrement. Ce soir il n’y avait pas d’égalité, et pour une fois, les rôles étaient définis : je devais la dominer et pour la première fois version hard. Les consignes étaient choisies d’un commun accord pour cette soirée : le standard (hygiène rigoureuse, respect, ni uro, ni scato), pas de pénétrations anales par une tierce personne et le mot de passe si les choses dérapaient.

Malgré les bouchons à 23h30, nous arrivâmes au club. Le seul club SM digne de ce nom de la capitale. Les manteaux déposés, nous nous installions au bar. Il y avait peu de monde, cinq ou six couples, trois femmes et deux hommes seuls. La musique était douce et nous pouvions parler tranquillement en buvant une coupe de Champagne. Un couple se leva et partit vers une autre pièce du club au niveau supérieur, suivi peu de temps après par un autre couple. Quelques minutes après, les bruits qui résonnaient au niveau du bar ne laissaient aucun doute sur les pratiques dans la pièce du dessus. Vanessa et moi décidions d’aller regarder. Arrivée dans la pièce en question, après un passage dans une sorte de labyrinthe, nous assistons à une scène : une femme en string était attachée par les chevilles et les poignets sur une croix de dos, et son Maître était en train de la fouetter. Le fouet s’abattait toutes les trente secondes environ et entre deux coup l’homme allait chuchoter quelque chose à l’oreille de la soumise. Dans la pièce, il y avait une femme seule qui regardait, un couple et nous. Hormis la musique basse, les coups de fouets, et les petits cris de la soumise, un silence lourd régnait. Visiblement ce n’était pas des débutants. Vanessa me regarda fixement et inquiète, et je lui chuchotais à l’oreille, qu’il n’était pas question que je joue à ce jeu. Personnellement je déteste ça ! Et elle le savait très bien. Le dos, les fesses et le haut des cuisses de la soumise étaient striés en rouge, ils ne trichaient pas, la scène avait durée quinze minutes pas plus et le Maître détacha la soumise, qui se lova immédiatement dans ses bras. Ils retournèrent au bar, suivis par la femme seule et le couple. Nous étions seuls dans la pièce et silencieux. Je décidais de prendre les choses en main. Je saisissais Vanessa par la taille et posa mes lèvres sur ses lèvres, nos langues se touchèrent, se mélangèrent quelques seconde et stop. Je regardais ma soumise droit dans les yeux et lui dit : « ça commence maintenant ».

Elle voulait dire un mot, et, je lui demandais de se taire, elle s’exécuta. Je lui désignais la croix et lui demandait de s’installer devant, debout les bras et jambes écartés. A ce moment, un couple entrait dans la salle, c’était un couple de la quarantaine. Une jolie brune avec un homme soigné, habillés tout en noir. Vanessa les regardait également. Je demandais à la femme avec mon plus grand sourire, si elle pouvait attacher ma soumise sur la croix, et dans le silence, après un sourire complice, elle s’exécuta et commença par attacher les poignets de la miss. Ma complice du moment se baissa pour lui attacher les chevilles, je lui fis un signe de s’arrêter et lui tendit une écharpe en soie afin qu’elle bande les yeux de ma soumise. Elle le fit rapidement et me regarda, je lui demandais de retirer le string de la suppliciée, elle me regarda et me demanda si son soumis (homme) pouvait le faire. Comme bon vous semble, lui dis-je. Le soumis se mit à genoux devant Vanessa et sans soulever sa mini-jupe, il retira élégamment le string. Visiblement pas des sauvages. Et je demandais à la Maîtresse de demander à son soumis de fixer les chevilles de Vanessa. Il s’exécuta rapidement. Je laissais Vanessa attachée sur la croix, les yeux bandés et fit un signe à la Maîtresse de s’approcher de moi. Et en chuchotant, je lui demandais si elle et son soumis voulaient participer à notre jeu. Elle me répondit par l’affirmative. Je fis les présentations toujours en chuchotant : « elle, c’est Vanessa et moi Michel. Elle me répondit : « moi c’est Caroline et mon soumis c’est Pierre ».

perles

En parlant plus fort, je dis : « Maîtresse Caroline si vous voulez déboutonner le chemisier de Vanessa ». Elle regarda Pierre et lui demanda sèchent de le faire. Délicatement, il déboutonna le chemisier de ma soumise. Avant d’arriver au dernier bouton, je fis un geste d’arrêt vers Caroline, qui répercuta un ordre bref vers Pierre : « Stop ! » Visiblement ce charmant couple appréciait le jeu. Je dis « Maîtresse Caroline, veuillez dégager les seins de Vanessa ». Caroline s’approcha et délicatement découvrait la poitrine arrogante de Vanessa. En observant l’attitude de la Maîtresse, je compris que les charmes féminins ne la laissait pas de marbre. Et Vanessa était une bisexuelle convaincue ! Je poursuivis en lui demandant de relever la mini-jupe de ma soumise de façon à faire apparaître son sexe. Caroline répercuta l’ordre vers Pierre, qui se mit à genoux devant Vanessa et remonta doucement d’une vingtaine de centimètres la mini-jupe. En même temps, je remarquais que ma soumise portait des bas avec un porte jarretelle, elle avait vraiment décidé de faire le grand jeu. Pendant ce temps, je regardais le visage de Vanessa et elle commençait à se mordiller très légèrement les lèvres, visiblement elle appréciait. Pierre était à genoux devant le sexe parfaitement lisse de Vanessa et ne bougeait pas. Je regardais Caroline et lui dit : « Léchez-lui le sein droit » ! Elle s’approcha sortit sa langue et commença à jouer avec son mamelon. Je dis à Pierre : « Toi, lèche-lui le sein gauche ». Il se leva et de manière un peu plus ferme, lécha le sein désigné. La bouche de Vanessa témoigna de ses sensations, elle commençait à être sérieusement excitée. Un autre couple entra dans la pièce et se mit à regarder le tableau, lui devait avoir la trentaine et elle, à peine vingt-cinq ans. Je réalisais que cela faisait plus de vingt minutes que Vanessa était attachée et que le plaisir n’allait pas durer une éternité dans cette position ! Je collais mes lèvres contre celles de Vanessa qui immédiatement enfonça sa langue dans ma bouche et fougueusement m’embrassait. Je fis un signe de ma main élégant à Pierre et Caroline d’arrêter, ils reculèrent. Avant de faire détacher Vanessa, je demandais à Caroline s’ils voulaient bien continuer avec nous. Sans hésiter, elle me répondit : « Oui ». Le couple, nouvellement entré dans la pièce, se dirigeait vers la sortie, et la jeune fille s’approcha de Vanessa et l’embrassa quelques secondes, avant de me regarder avec un sourire mutin. Caroline et Pierre quittèrent la pièce et je détachais ma soumise, la vue retrouvée, elle me regarda et je lui posais la question : « Ça va ? » Elle me répondit : « Bien », tout en refermant son chemisier et en réajustant sa mini-jupe, je vérifiais dans ma poche si je n’avais pas perdu le string de la miss. Retour au bar, quelques personnes venaient d’arriver. Après une bonne demi-heure de pause, je demandais à Vanessa si elle voulait visiter un autre salon du club car des bruits étranges provenaient de cet endroit. Nous nous levons et allons visiter un double salon à l’opposé du bar. Deux couples s’amusaient, une femme attachée sur une croix de dos se faisait prendre sans délicatesse par un jeune homme en pleine forme devant les yeux de son compagnon qui tenait une cravache. Une jeune fille tenait également une cravache : les deux martyrisaient le postérieur ou les cuisses de ceux qui coïtaient, c’était à mes yeux déroutant, mais si les quatre prenaient du plaisir, why not !

Arrivé dans une pièce du fond, Vanessa me fit un commentaire envieux sur un hamac en cuir et chaines suspendues au milieu de la pièce. Un léger bruit dans mon dos et je vis Caroline et Pierre nous rejoindre. Je leur fis un large sourire et leur proposait de continuer. Je proposais à Caroline et Pierre de déshabiller ma soumise et de lui bander les yeux. Toujours avec classe et élégance, ils s’exécutèrent, ma soumise était debout, presque nue : chaussures, bas, porte-jarretelles, mon foulard de soie lui couvrant les yeux. Je demandais à mes amis de jeu d’installer la miss sur le hamac et de lui sangler les chevilles et poignets aux quatre coins. Une fois fait, je demandais à Carole et Pierre de la caresser, tout sauf le visage. Chacun d’un côté du hamac la caressait, l’embrassait, la léchait. Elle avait pour elle quatre mains et deux langues pour son plaisir. Soudain, je dis à Maîtresse Caroline : « Demandez à votre soumis de faire un cunni à ma soumise ». Caroline s’approcha de Pierre et lui dit de s'installer à genoux entre les cuisses attachées ouvertes de Vanessa et de la lécher avec ses mains dans le dos ! Et, elle voulait voir le résultat ! La pièce était minuscule et à deux mètres du hamac était disposé un canapé en cuir à deux places. Je m’assis pour regarder la scène et surveiller un peu les gestes de Pierre, mais je me sentais en confiance. Caroline vint s’asseoir à côté de moi et regardait la même chose. Je la croise du regard et sa bouche se colla contre la mienne. Nos langues se cherchaient s’enroulaient, mes mains commencèrent à glisser sous sa robe pour caresser ces seins, puis je sentis ses mains se poser et masser mon sexe à travers mon pantalon. Là, s’en était de trop. J’ouvris mon pantalon et libéra mon membre, elle le prit à pleine main et commença à l’agiter de haut en bas. Je me penchais vers elle afin de l’embrasser, et ma main droite descendit vers son sexe, son état d’excitation extrême fut une demie surprise. Il n’y avait rien qui empêchait mes doigts de jouer avec son clitoris et la cyprine facilitait toutes les pénétrations de mes phalanges. Pierre, les mains dans le dos, à genoux, léchait Vanessa avec une certaine abnégation, je commençais à déshabiller partiellement Caroline. Ma soumise commençait à se tortiller de plaisir et poussait des petit cris. La dominatrice, à côté de moi, me suçait allègrement, mes doigts allaient et venaient entre son vagin et son clitoris, elle était trempée de plaisir. Et moi, j’étais très en forme. La saisissant par les cheveux, j’interrompis sa fellation et en Dominateur lui dit : « Maintenant, à genoux et suce ! » Elle obéit, un peu à ma surprise, et je la traitais comme une soumise. Elle donnait la sensation d’aimer la situation et ne parlons pas de moi. Soudain, Vanessa utilisa le code convenu en cas de problème, expliquant la situation à Caroline, je lui priais de m’excuser, rapidement aux côtés de Vanessa, je fis un signe amical à Pierre de tout arrêter. Je retirais le foulard de ses yeux et lui demanda quel était le problème. Elle me répondit : « Fourmis dans les cuisses ». Je la détache et elle s’habille. Nous prenons congé élégamment de Caroline et Pierre et, Vanessa disparut aux toilettes. De retour peu de temps après, elle vint vers moi et me dit : « Suis-moi ». Retour à la première pièce de la soirée et un peu plus loin devant une alcôve douillette, elle se retourna en me tendant une cordelette et me dit : « Violes-moi ! »

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